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Fidèles de la saga Assassin’s Creed depuis ses débuts, nous ne pouvions manquer son apparition à la Paris Games Week. Nous avons donc tranquillement posé nos mains sur Unity et arpenté Paris, voici nos impressions.

A quelques semaines de sa sortie, Assassin’s Creed Unity est quasiment dans son habit définitif, c’est-à-dire optimisé aux petits oignons et sans bug ridicule. Difficile pour nous de préjuger de la valeur du jeu sur PC, nous n’avons pu nous essayer qu’à une version console. On retrouve Arno non loin de la cathédrale de Notre-Dame, avec pour objectif de s’y introduire pour éliminer une cible précise. Ne vous attendez pas à un boulevard pour atteindre votre objectif, la foule est dense sur le parvis de la cathédrale, les gardes sont très nerveux, il va falloir ruser et jouer l’infiltration. Nous avons tenté une approche volontairement frontale, pour tester la réactivité de l’IA, le résultat fut sans appel. Repéré dès l’entrée, Arno s’est écroulé à quelques centimètres de sa cible sous les coups des ennemis, sans pitié.

Scène de vie de la capitale française.

Laissons place à l’unité

Notre testeur a gravi Notre-Dame durant le salon.

Comme pour chaque Assassin’s Creed, Ubisoft annonce que le nouvel opus est plus exigeant, doté d’une meilleure IA, de moins de répétitivité, etc. Malheureusement, on termine toujours par se jouer des adversaires assez facilement et on termine la plupart des missions sans trop souffrir, la mort étant souvent le résultat d’une erreur de trajectoire d’un saut ou d’une mauvaise stratégie. Pour AC Unity, l’approche se veut différente avec l’introduction d’un bouton permettant de passer en mode discrétion, comme cela aurait dû être le cas depuis le début de la série. La discrétion s’avère donc utile pour réaliser de véritables approches furtives, en choisissant par exemple d’escalader Notre-Dame pour y pénétrer autrement.

Les mouvements d’Arno, que ce soit pour grimper ou descendre, sont plus fluides, moins rapides, les descentes ne sont plus forcément synonymes de saut dans le vide hasardeux ou involontaire. Arno retrouve la terre ferme en entier après une descente réaliste et intuitive. Pour le reste, rien ne semble avoir changé, la foule a gagné en densité, les PNJ se comportent de la même manière, les commandes sont identiques, les ennemis plus violents. On passera rapidement sur le framerate à la ramasse, ayant joué sur une version console. Il faut en tout cas reconnaître l’énorme travail accompli par les développeurs pour offrir une ambiance de révolution si réussie, des graphismes agréables et une reproduction de Paris, que nous n’avons pu explorer, époustouflante.


Après plusieurs passages dans les rédactions des journaux spécialisés dans l'informatique et les jeux vidéo, Robin (précédemment Jules Fauteuil) a poursuivi l'aventure sur Internet où il a été découvert par Jonathan en 2006 à la fondation de GameTrip. L'histoire continue aujourd'hui, car le PC, ses accessoires et ses jeux, c'est son terrain.

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